Le projet de skate park sur la Rabine est à l'ordre du jour du conseil municipal de vendredi.
Hier le président de l'association des plaisanciers a rencontré le maire pour lui faire part de l'inquiétude de ses adhérents et de leur regret qu'il n'y ait pas eu de concertation sur l'implantation du site,
type « Street Plaza » de 1.500 m² soit une trentaine de modules.
« Il n'est pas dans notre sensibilité d'aller jusqu'au tribunal, mais nous voulons sensibiliser à l'avenir du port. Il n'est pas non plus question de dresser les plaisanciers, qui ne sont pas des gens qui ont les moyens, contre les jeunes » précise Christophe Roumagnac.
Le maire leur a annoncé, sur les questions de sécurité, l'installation de caméras de surveillance aux abords du skate park. Sur le skate park lui-même, il a assuré que l'équipement était conçu pour « limiter au maximum les éventuelles nuisances sonores. »
Mais de son côté, l'APPV a adressé un courrier aux 45 élus du conseil municipal. « La ville a tellement délaissé son port du point de vue des infrastructures qu'elle le transfert aujourd'hui à la Compagnie des ports du Morbihan.
Entre le skate park et le futur complexe hôtelier rive gauche, nous serons bientôt comme les papys de la Soupe aux choux : il ne restera plus qu'à nous jeter des cacahuètes !
Mais s'il n'y a pas de port... Vannes n'est plus Vannes » estime C. Roumagnac.
© Le Télégramme du 1er février 2017
Hier le président de l'association des plaisanciers a rencontré le maire pour lui faire part de l'inquiétude de ses adhérents et de leur regret qu'il n'y ait pas eu de concertation sur l'implantation du site,
type « Street Plaza » de 1.500 m² soit une trentaine de modules.
« Il n'est pas dans notre sensibilité d'aller jusqu'au tribunal, mais nous voulons sensibiliser à l'avenir du port. Il n'est pas non plus question de dresser les plaisanciers, qui ne sont pas des gens qui ont les moyens, contre les jeunes » précise Christophe Roumagnac.
Le maire leur a annoncé, sur les questions de sécurité, l'installation de caméras de surveillance aux abords du skate park. Sur le skate park lui-même, il a assuré que l'équipement était conçu pour « limiter au maximum les éventuelles nuisances sonores. »
Mais de son côté, l'APPV a adressé un courrier aux 45 élus du conseil municipal. « La ville a tellement délaissé son port du point de vue des infrastructures qu'elle le transfert aujourd'hui à la Compagnie des ports du Morbihan.
Entre le skate park et le futur complexe hôtelier rive gauche, nous serons bientôt comme les papys de la Soupe aux choux : il ne restera plus qu'à nous jeter des cacahuètes !
Mais s'il n'y a pas de port... Vannes n'est plus Vannes » estime C. Roumagnac.
© Le Télégramme du 1er février 2017
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